Larrau dans le Pays Basque

Octobre 2021, nous débutons ce mois d’automne par un séjour dans les Pyrénées à Larrau (64560) chez les larraintars pour la première semaine et à Pierrefitte-Nestalas (65260) pour la deuxième semaine.

Constat : cette année Simone a la bougeotte : l’Ardèche, le Cantal, le Morvan, l’Eure au premier semestre et maintenant les Pyrénées ! Où s’arrêtera-t-elle ?
La descente jusqu’à Larrau s’effectue en deux jours avec une étape intermédiaire à St Vivien dans l’aire d’appellation Bergerac au milieu des vignes.

Danss la descente sur les départementales, les paysages défilent : vignobles, forêts, collines, vallées, plaine forestière monotone, notamment entre Marmande et Mont de Marsan à éviter à l’avenir !

Près de Montboyer (16620) sur la D674, le pique-nique concocté par madame, une tradition !

Un ciel impressionnant, moutonnant à Chalais (16210), non dénué de charme !

Le gîte de St Vivien (24230) où nous sommes accueillis par la maman

dans un environnement où tous les bâtiments appartiennent à la même famille de vigneron

Sur le faîte du toit de la ferme à côté d’un des gîtes, nous sommes bien dans une région viticole historique

Après les heures passées dans la voiture, nous devons nous aérer, la balade dans le vignoble à cette époque est très plaisante

Nous poussons jusqu’à la coopérative viticole de St Vivien à 2km du gîte au plus près

A cette époque de l’année pas de risque d’être incommodé par les pulvérisations !

Nous traversons un pays de vin et cela se remarque à tout instant, les vendanges ont commencé, Château Molhière à Boucaud sur la commune de Duras (47120), les caves et les châteaux se succèdent

Les bennes remplies de raisin vont au pressoir !

Petit dérouillage de jambes à Beaupuy

l’église de Beaupuy (47200) dans le Lot-et-Garonne

les gargouilles sont fantastiques et sont prêtes à bondir hors du clocher

Une belle allée cette D933N près de Saint-Avit (40090) dans les Landes, peut-être un peu trop rectiligne !

Après la monotonie des forêts landaises, un dérivatif la chaise pour géant ; étonnant, surprenant ! à Hagetmau (40700)

Le repeuplement de nos campagnes suite au covid19 à Sault-de-Navailles (64300) dans le département des Pyrénées Atlantiques

Un peu de recherche pour vous apprendre que :

A hagetmau, il existe une tradition de réalisation de chaises et de fauteuils. Plusieurs usines y sont implantées. En 1994, l’industrie du siège y comptait 2000 emplois directs, 3 500 au total.
Cette ville est présentée dans le roman Un sac de billes de Joseph Joffo. Les frères Joffo devaient traverser la ligne de démarcation pendant la deuxième guerre mondiale.

Wikipedia

Sur le chemin de St Jacques de Compostelle la voie du Puy, Navarrenx (64190) une cité fortifiée

Un pont du 13ème siècle, permet aujourd’hui de franchir le gave d’Oloron, que les jacquets traversèrent longtemps à leurs risques et périls, en barque ou, lorsque le niveau de l’eau le leur permettait, par le gué de Mongaston

le gave d’Oloron à Navarrenx (64190)

En 1188, le Chemin est cité dans la charte du pont de Navarrenx.

A 15h nous arrivons au gîte (alt 590m) où nous attend Martin, une installation sans soucis, sans chèque de caution dans une maison magnifique, une ancienne étable aménagée avec beaucoup de goût (subjectif), de modernité avec des ustensiles de qualité


La voiture déchargée, nous partons dans le village repérer les commerces pour la semaine

découvrir notre environnement en partant randonner en direction de l’Espagne sur la D26

à la sortie de Larrau vers la D19 et la D26

Niché au pied du pic d’Orhi, point culminant du pays basque, Larrau (64560), Larraine en basque (bon pâturage) est un village de montagne, bien ancré dans le paysage et la tradition de la Haute Soule.
Un bourg regroupé autour du fronton et de l’église datant du 12ème et 17ème siècle, porteuse de l’histoire du village à forte influence transfrontalière, sur le passage d’une des voies se St Jacques de Compostelle.

Dimanche 03 conformément aux prévisions météo, un ciel uniformément gris et de la pluie bouchant la vue sur le versant nord-ouest de la montagne.

11h, la baie dans la pièce à vivre, la vue nord-est, il pleut !

Tous les matins le même spectacle : les nuages qui descendent de la montagne, et pourtant différent tous les jours, les masses nuageuses créent des abstractions sans fin en glissant sur le relief escarpé !

Pour nous occuper, la pluche des légumes de notre jardin : des carottes, des pommes de terre, du radis noire, des pommes de chez nous et des pommes cueillies en cours de route pour le dessert en compote.

12h 30, peu de lumière, de la grisaille et pourtant du spectacle à l’extérieur, les vautours fauves tournoient dans le ciel anthracite

14h, la pluie a cessé, les formations rocheuses du versant nord-est dans les nuages bas évacuent leur humidité

Vers les 15h, l’envie de sortir est prégnante, je regarde par la baie et découvre le spectacle. Vite ! vite l’appareil photo et dehors! J’improvise un pied photo avec le toit de la voiture

des vautours fauves et des vautours percnoptères (blancs en dessous).

19h la pluie a cessé, les nuages dans la vallée du gave de Larrau à l’est du gîte bouchent la vue

Lundi 4 octobre, 6h 20 : c’est les vacances, les Fluck veulent profiter au maximum des journées, le petit déjeuner

En attendant la lever du jour, la séance de lecture

Le ciel bleu est au rendez-vous

le soleil ne pénètre pas encore dans la vallée lorsque nous partons en randonnée

Sans destination prédéfinie, nous prenons la 1ère route à gauche après le gîte, elle passe sous un pâturage où pait un troupeau de chevaux, devant nous les nuages remontent la vallée de l’Oronitzéko Erréka

8h 50, le soleil commence à chasser la brume sur le versant nord-est de la vallée

A notre gauche, au fond de la vallée, l’Oronitzéko Erréka cachée par la végétation

et nous découvrons devant nous des gorges, les gorges d’Holzarte que nous longeons en direction de Amubi

en passant devant une bergerie au lieudit Uziarbia

à l’architecture typique

1oh l’heure de l’encas au dessus des gorges d’Holzarte et l’heure de rebrousser chemin, nous n’avons pas de pique-nique !

Le retour par le même chemin

et à 11h 30 nous arrivons à l’entrée du bourg, 8mn plus tard au gîte

Une agréable randonnée de 8,5km, l’altitude minimale de 593m au gîte et maximale de 860m au col de Jauréguiber à 2,8km du gîte.

Le pont suspendu d’Holzarte

Située sur la commune de Larrau, la passerelle d’Holzarte surplombe les gorges d’Olhadubi de 180 m. C’est l’un des sites naturels les plus spectaculaires et les plus fréquentés des Pyrénées occidentales. On l’atteint au terme d’une heure de marche en sous-bois.

Il est également possible de faire le tour des gorges (compter 4h à 5 h de marche). De bonnes chaussures de marche sont indispensables.

Attention : il s’agit d’une randonnée difficile pour marcheurs sportifs et aguerris, déconseillée aux enfants.

Déniv: +350m – 2h00 – 4,5 km

L’après midi nous descendons sur la D26 à l’auberge du Logibar, le départ de la randonnée au pont suspendu d’Holzarte, un allée-retour de 2h, un dénivelé + de 200m

A 13h 45, nous arrivons au départ du sentier

l’Olhadübi

Le démarrage est soft, peu accidenté

Mais après le pont, c’est une autre affaire, d’autant plus qu’il a plu hier !

Après une dizaine de minutes, le sentier est moins raide et plus sec, il court le long de la pente en remontant le fond de la vallée

après une courbe de relief, nous découvrons le pont, frêle passerelle au-dessus du vide

le panorama permet de mieux situer le décor, à droite sur la photo l’Olhadoko erréka et à gauche sur la photo le ruisseau d’Olhadibi enjambé par la passerelle

J’immortalise la traversée peu impressionnante d’après Simone, les mailles sont trop serrées

Après son aller-retour, l’attente sur le photographe qui veut tester la sensation en faisant un aller-retour

l’aller

de l’autre côté

la traversée de retour

Nous avons vu la passerelle, nous pouvons redescendre, la fraîcheur s’invite, peu de touristes (6) en cette saison

Après la section cool, la section plus critique, mais il y a les mains courantes ! donc même pour la descente ça va

16h 30, à l’heure pour le spectacle de la fin d’après midi

et plus proche, l’escadrille qui tournoie au dessus de nos têtes

Magnifique ! je ne m’en lasse pas.

Animal grégaire, le Vautour fauve vit en colonie, qui comprennent des aires et des reposoirs reconnaissables sur la photo grâce à la blancheur de la fiente qui les tapisse où les grands oiseaux se rassemblent

3 vautours sur leur aire

et sont toujours à proximité de sources de nourriture. Ces surfaces sont en général orientées au sud ou au sud-est

Les Vautours fauves restent en hauteur (falaises) pour profiter des courants d’air et s’élever sans efforts.

Ils partent en petits groupes dans la matinée pour prospecter leur territoire à la recherche de nourriture et reviennent en fin d’après-midi.

Mardi 5 octobre, le boulanger est revenu de vacances, le dépôt de pain est réapprovisionné et ouvrira mardi, jeudi et dimanche dès 9h.
Après les courses

sous un ciel uniformément gris, nous descendons la D19

A la sortie d’un virage je remarque une vache qui me regarde avec insistance de derrière un poste de transformation

elle a de belles cornes régulières et je l’immortalise avec mon smartphone


Nous n’irons pas plus loin, nous reviendrons cet après-midi pour la suite de la randonnée.


Après le déjeuner, malgré l’humidité ambiante nous partons sur la D19 où les accalmies alternent avec le crachin breton et les averses. La flore du bord de route intrigue , la grande boucage, une très jolie plante vivace à floraison nuageuse et l’ancolie en fleur s’épanouissent sur la rive de la route

La balade humide sur la D19, Simone approche du gave de Larrau et l’intersection vers Karrikiri une ancienne ferme

J’admire la beauté de l’ombellifère rose sur le bas côté de la D19

toujours pas découragée par l’humidité, Simone continue au fond de la vallée en longeant le gave

l’élevage de cochon montagnard, du bon gras, du bon lard, de bons muscles, …

d’un côté les cochons et les bovins, de l’autre le gave de Larrau

finalement nous faisons demi-tour, lassés par les successions d’averses

à 15h 15 nous sommes de retour accompagnés d’une bonne averse !

Mercredi 6 octobre d’après la météo des averses sont à craindre, nous partons néanmoins en direction de l’Espagne sur la D26, la visibilité est très limitée

Les lacets disparaissent dans la purée de pois, nous sommes seuls au monde !

Pas tout à fait car soudain, nous vient du haut de la montagne un bruit de moteur, quelques instants après un transport de grumes descend prudemment à faible vitesse

Nous poursuivons notre chemin et bifurquons sur un chemin forestier, nous ne sommes pas seuls ! le sentier est encombré

une coquette pose pour la postérité

Après les avoir dépassées, nous prenons la direction de la chapelle St Joseph

le chemin devient sentier, de plus en plus escarpé et étroit, Simone n’ayant pas son bâton préfère rebrousser chemin et revenir l’après-midi

Au bord du sentier, une grappe de champignons, comestibles ou pas, nous n’en savons rien ? dommage !

La brume s’est levée mais pas la grisaille, les lacets courent dans la descente et se distinguent bien

Après le déjeuner, nous prenons le PR dans le village, rocailleux et abrupt, il monte tout droit la pente, coupant au plus court

en direction de la chapelle St Joseph, des fenêtres dans la végétation ouvrent sur la montagne et les pâturages

Le PR « gonfle » et « dégonfle » dans la montée passant de sentier à chemin, de chemin à sentier, Simone à 938m d’altitude sur une « avenue »

A 770m, Simone me met en boite, l’avenue est redevenue sentier

Nous retrouvons le sentier du matin où nous avons fait demi-tour

des champignons tout le long de la montée dans le couvert de la forêt

pas de répit ça monte, la grimpette à travers le chaos

pour enfin déboucher au niveau de la chapelle (alt 873m). Simone devant la chapelle St Joseph

et le point de vue dégagée vers le nord

Nous reprenons le sentier jusqu’au col, la sortie de la forêt est proche et le sommet est en vu

les brebis paissent et sont effrayées par notre passage

Simone dépasse la croix d’Erroimendi (1363m) et se dirige vers le col routier de même nom

Au col d’Erroimendi (1362m), une descente à 10% nous attend

avec la vue sur les montagnes environnantes

Dans la descente, la pente balayée par l’ombre des nuages nous offre un beau camaïeu de vert

La montagne en face semble tout proche, une belle route pour vélo grimpe sur sa pente

Le relief en arrière plan, au dessus de Simone, m’interpelle, est-il naturel ?

Quelle profondeur ! la grisaille apporte un charme supplémentaire au paysage (alt 1310m)

alt 1237m

alt 1167m

dans la descente sur la D26 en direction de Larrau (alt 1167m)

nous arrivons au niveau des lacets de la D26 à l’altitude 946m encore un dénivelé de -300m pour atteindre Larrau

Dans Larrau, avant de rentrer, nous assistons à la transhumance, les brebis changent de pâturage et s’installent à proximité du gîte et nous profiterons du tintement des cloches

Une montée de 5km avec un dénivelé + de 770m, sur des sentiers et des chemins, la descente sur la D26, 8km entre pâturages et forêts plus faciles pour moi et ma jambe droite !

Jeudi 7 octobre, un lever de soleil rougeoyant sur fond de ciel bleu, une journée qui s’annonce belle !

Un ciel magnifique d’un bleu profond, de la fraîcheur pour chercher notre pain. De retour, je scrute avec les jumelles, la falaise d’en face et je découvre les vautours sur leur reposoir

9h 20, nous démarrons la randonnée, passons devant le camping et reprenons le chemin forestier de lundi à la sortie de Larrau

4km depuis le gîte, devant nous dans le trou les gorges d’Holzarte, nous sommes à 808m d’altitude et à 500m à vol d’oiseau de la passerelle

Au dessus de nous tournoie un vautour profitant des ascendances thermiques

6,3 km depuis le gîte, nous ne sommes pas les seuls à remonter les gorges, 2 voitures nous ont dépassées

La Latserreka dévale la pente en une succession de cascades plus ou moins grandes

Nous dépassons la Latserreka qui va se jeter dans la Olhadoko qui coule en contrebas, et arrivons au pont d’Amübi, il enjambe l’Olhadoko

Simone a repéré un lac de barrage sur l’Olhadoko au dessus de nous, le chemin est à proximité, le démarrage est bétonné car très raide

c’est parti, long de 800m avec l’altitude variant entre 675m et 821m, soit du 18,2%, la montée est très sportive !

La montée totale est de 1,1 km, l’environnement est décevant, rien de pittoresque !

un aller-retour

De retour au pont d’Amübi (alt 672m), assis par terre sur des pierres, nous mangeons nos sandwichs. J’ai pas la maîtrise du selfie, je teste

Simone et jean-Claude au pont d’Amübi, le casse-croûte

Rassasiés et plein de vigueur, nous progressons sur le chemin, au loin la cascade du Latserreka, nous sommes à 716m d’altitude

alt 835m, le gué n’est plus très loin

le gué de l’Ardaneko alt 830m, un cul de sac pour nous !

Nous repartons en arrière et passons sous une barrière, sur le GRT11, à la cascade du ruisseau de Pista près du gué de l’Ardaneko (alt 759m) nous rebroussons chemin

Sur le chemin de retour, les points de vue diffèrent

à la cascade du Latserreka (alt 693m), Simone est blasé, c’est la quatrième fois que nous passons devant

C’est à cet endroit et dans cette direction avec cette position du soleil que les falaises des gorges d’Holzarte sont les plus impressionnantes (alt 696m)

le chemin remonte un peu au dessus des gorges d’Holzarte (alt 712m) afin de descendre de plus belle

16h Altitude 579m, le retour, la vue près de l’entrée dans le village de Larrau

16h 30, de retour au bercail, 21,3 km pour la journée. La montée à la retenue de d’Othadoko très raide, prend un certain temps, est très décevante car aucune vue.

Vendredi 8 octobre, toujours aussi beau, un ciel bleu un peu moins limpide, pas de grande randonnée pour la dernière journée. Pour la balade du matin, j’ai prévu d’aller à Karrikiri, c’est à dire descendre par la D19.

A la sortie de Larrau, la vallée du gave de Larrau (alt 617m)

Le pâturage à Karrikiri

Simone dans la vallée du gave de Larrau à Karrikiri

Le gîte de Karrikiri vu de la D19 en remontant à Larrau

Karrikiri

Karrikiri est un cul de sac, un aller-retour de 7,2 km.

L’après-midi nous reprenons par la D19 et montons en direction de Irati, dépassons le lieudit Sala

et continuons sur une route qui ne semble pas très fréquentée bien que nous soyons sur une route sans issue desservant de nombreux hameaux habités

puis bifurquons à gauche, la route grimpe donc on espère de beaux points de vue

au lieudit Sariberria, nous intriguons le taureau et sa compagne, ils nous surveillent du coin de l’œil

la route continue de grimper et se termine à Mendiondoa, un cul de sac, nous échouons dans la cour d’une ferme. Nous sommes accueillis par les grognements de deux cochons heureux de vivre en pleine nature

Nous rebroussons chemin, près de l’intersection vers Mendiondoa (alt 753m) ou vers Elixabea (alt 600m), nous décidons de revenir vers la D19

dans les prés les colchiques fleurissent, c’est la fin de l’été

Un après-midi bien rempli pour notre dernière journée à Larrau, un aller-retour de 9,2 km.

En résumé, au gîte nous sommes à 589m, passons par un premier « col » dans Larrau à 644m suivi par la descente sur la D19, à l’altitude de 577m nous bifurquons vers « fromage Ossau – Iraty ». A 613m d’altitude l’intersection vers Mendiondoa (alt 761m) ou vers Elixabea (alt 600m). Nous avons opté pour Mendiondoa (alt 761m).

L’album photo : Larrau dans le Pays Basque

A propos JC

Jean-Claude Fluck né le 27 mai 1949 à Wittenheim dans le Haut Rhin (68) Le titre du blog est un hommage à Yves Simon
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2 réponses à Larrau dans le Pays Basque

  1. JC dit :

    c’est le lyrisme de l’instant, l’inspiration du vécu car tous les soirs je rédigeais mon texte et regardais les photos.
    Merci pour le commentaire, ça me fais plaisir !

  2. depollier dit :

    Bravo le Blog !!!!Je trouve tes commentaires, au fil des blogs et des années, de plus en plus empreints d’un incroyable lyrisme comme cette belle phrase :  » les masses nuageuses créent des abstraction sans fin en glissant sur le relief escarpé « ….Wahouuuu .
    Bon photographe et bon rédacteur .
    A quand le deuxième ?

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